Nos vies antérieures

Nos vies antérieures

L'autochrome lumière : 6 avril 1920

Photo : Georges Chevalier, collection Musée départementale Albert Kahn (départ de Roscoff pour la pêche de Mr Masson fils avec son équipe de marin pêcheurs).

Article "Premières Images d'une Bretagne en couleurs" de Marc ESCUDIÉ (Ouest-France 2-12-2008)

-------Voyages en couleurs (1907-1929), 144 pages, 120 illustrations, éditions "Apogée" 29 Euros

Registres Paroissiaux : accident...........




Sur Beignon,
Julien Dolo trouvé mort et la tête écrasée sous la charette....
Aux ancêtres de mon épouse -DOLO- qui ont gardé toutes leurs têtes

Registres Paroissiaux : accident...........




Sur la paroisse de Guillac,
François HUET est tombé d'un chataigner et est mort aussitôt..........

A tous les Autres et à toi Pierre JAHIER


Nous avons en commun notre patronyme, nos ancêtres viennent pour bon nombre de Lanouée et nous sommes un peu-beaucoup cousins....
Voici son histoire, une partie de sa jeunesse de Lanouée, à Landelles et aux chemins de Croix
Pierre JAHIER né à Vérigny en 23 septembre 1914, C'est au milieu des bruits de la guerre qu'il fît son entrée dans ce monde. Il vint, avec ses parents, à Landelles (Eure et Loire), à l'âge de 9 ans en 1923. Il part sous les drapeaux en 1935, il fut incorporé au 106ème Régiment d'Infanterie à Châlons-sur-Marne. En 1937, son temps de service achevé ; mais il fut rappelé en 1938 et fut incorporé au 44ème puis au 26ème Régiment de Tirailleurs Sénégalais.
En 1939, à la déclaration de guerre, il est en Lorraine où il reste durant de longs mois d'attente de l'automne 39, et de l'hiver 39-40. En mars 1940, il vint en permission de détente ; ce fut son dernier passage au sein de famille, son frère n'avait que 7 ans, penserait-il à jamais à ce revoir...
"mes amitiés à son frère" et à toute la famille : JAHIER Alain
Quand vinrent les grandes attaques, son régiment fut coupé en deux tronçons sous la force de l'envahisseur ; une partie put gagner la Somme pour de nouvelles campagnes ; l'autre partie fut durement refoulée dans nos régions. C'est au cours de cette retraite, durant laquelle nos valeureux tirailleurs s'efforçaient de mettre toutes les entraves possible à l'avance ennemie, qu'il trouva la mort le 16 juin 1940 dans la plaine de Châllet, à environ 25 km de Landelles.
Son corps fut retrouvé dans un champ d'avoine, avec trois de ses excellents camarades. Leur capitaine et d'autres soldats ne furent pas retrouvés.........

1938 : Simone BRIVOUAL

MAURON
vous pouvez l'aider à retrouver ces personnes ?

Qui es-tu jeune fille de AUGAN (10-11 ans)

L'institutrice Soeur ALEXIS, je possède tous les noms-prénoms des autres filles (36), il me manque cette jolie écolière.

QUI ES-TU, AIDEZ-MOI A LA RETROUVER ?

Anne Marie ROUSSEL, devenue Mme HAZIF et habitant actuellement dans la rue de la Gare d'Augan

Merci Jean le 29 décembre 2011

1916







Vos réponses généalogiques pour Noël


Je fournis les tables suivantes contre rançon pécuniaire sur mes heures passés sur mon ordinateur, en mairie, aux archives départementales... si vous êtes intéressés par ces relevés, sous format excel, libre de droit à vous par la suite :
INTROUVABLE AILLEURS car EFFECTUÉ PAS MES SOINS
1) les paroisses de GUILLAC, LA CROIX-HELLÉAN, HELLÉAN = Le GLAC (Bas et Haut Glac)
il s'agit des Baptêmes, Mariages, Sépultures (filiatives, parrains, marraines, témoins, N° des actes pour les retrouver très rapidement.....)
18524 baptêmes des origines à 1792
4262 mariages, fiançailles, bans des origines à 1792
12615 décès des origines à 1792
2) la paroisse de LANOUÉE et la trève de POMELEUC de 1620 à 1792
Baptêmes, Mariages et Décès
20872 Baptêmes (filiatifs)
4671 Mariages, fiançailles, bans (filiatifs)
16132 Décès (filiatifs)
3) les paroisses de LANTILLAC et BULÉON
Baptêmes, Mariages et Décès
+ de 6 000 actes filiatives.....
Tous ces relevés ont été remaniés, pour une recherche des plus faciles, uniformité des PATRONYMES, des PRÉNOMS....
pour de plus amples renseignements sur les tarifs : alaingenealogie@neuf.fr

Toujours présente dans nos coeurs.....


le chemin pour y aller aux Archives Départemantales à Vannes


HISTOIRE et GÉNÉALOGIE


La section généalogie de l'association Histoire et Patrimoine du pays de Josselin s'est réunie le vendredi 10 octobre 2008 pour définir le programme de l'année 2009. Les objectifs sont : la poursuite des recherches sur les tanneurs du pays de Josselin, la formation à un logiciel de généalogie, les recherches sur les "Morts pour la France" de la 1ère guerre mondiale à partir des monuments aux mort du canton. L'association ne perd pas de vue son objectif premier qui est d'aider au démarrage d'une généalogie, d'échanger des données de leurs ancêtres communs, de retrouver peut-être des cousins parmi le groupe. La section généalogie recherche des familles des communes de Guégon, Trégranteur, Saint-Servant, Lanouée, Plumelec, Radenac, Moréac, Guillac, La Croix-Hélléan, Hélléan, Lizio, Les Forges, Josselin, Pleugriffet, Guéhénno, Grandchamp.. La prochaine réunion aura lieu le vendredi 12/12/2008 au centre culturel de Josselin à 20H30.

à la recherche de nos Meuniers


la saga des GUILLEMOT-LE THIEIS-LE RAY....................

philatélie, enveloppe 1er jour / JOSSELIN


Pour avoir ce souvenir de JOSSELIN, la chapelle de la Congrégation à Josselin 20-21 septembre 2008.

à ceux recherchant leurs âmes de meuniers

François Tual se remaria en seconde noces, trois mois après la mort de Vincente Le Clerc !

les belles images ont leur place



Pourquoi ne pas m'adresser certaines photographies de vos aieux, ils auront l'honneur d'être mises à l'honneur

à vous de jouer, merci à ceux, qui par avance ont une pensée merveilleuse de la Bretagne de nos aieux

Alain

en 1852 : place des Lices à Rennes


Hélène JEGADO (1801 Plouhinec/1852 Rennes)
Une petite femme, excellente cuisinière, agrémentait ses soupes aux herbes très relevées de mort aux rats contenant de l'arsenic. Elle tua, des enfants, des curés, des bonnes soeurs, ses maitresses de maison et même sa propre soeur... Elle a été accusée de 37 crimes connus, les reconnaissant au cours de sa confession reçue par l'abbé Tiercelin, mais combien d'autres supposés ?
Hélène JEGADO fut guillotinée le 26 février 1852 à 7h places des lices à Rennes devant une assistance de près d'un millier de personnes.
la Tueuse en série de Bretagne
ne manquait jamis d'aller fleurir la tombe de ses victimes

fluctuation de la population (méthode MOHEAU)

Suivant les coefficients de la méthode MOHEAU
et pour la période 1700 à 1749
la population sur :
  1. Lanouée et sa trève : 3 883 habitants en moyenne (bien que certains baptêmes sont sur Josselin), donc on peut admettre une moyenne de 4 000 habitants environ
  2. La Croix-Helléan : 1 393 habitants en moyenne
  3. Guillac : 1398 habitants en moyenne
  4. Sérent : 2564 habitants en moyenne
  5. Lantillac : 397 habitants en moyenne


GUILLAC

les relevés Baptêmes, Mariages, Sépultures de Guillac

Ces relevés se poursuivent, lentement, durement mais sûrement......

Il faut être patient pour avoir des données complètes sur GENEANET....

Pour Guillac, les baptêmes commencent en mars 1591, sur les différentes années dépouillées, on croise différentes écritures, le vieux français, le latin durant 30 années et la lisibilité des actes est relativement corrects bien qu'il faut avoir l'habitude des actes des registres paroissiaux ; l'année 1725 est en lacune définitive ainsi qu'à la mairie, les registres de la mairie complètent sur quelques pages les registres en ligne "racines de l'avenir" incomplets ; certaines années 1671 à 1675, il faut aimer parcourir un registre émietter par l'usure du temps, mais le comble revient à l'année 1695, page déchirée, abîmée...

Le premier village nommé à un baptême est le Boux le 8 août 1606 ; Brangoyan, à mes yeux est le village le plus important en terme démographique bien que je n'ai pas encore effectué d'étude dans ce sens ; les mariages ont lieu principalement en janvier et février, on trouve beaucoup de lien avec les paroisses de Helléan, La Croix-Helléan, Saint Servant, Ploërmel et Guégon.... On parle également de Montertelot trève de Guillac, de Quily où le prêtre exerçait tant à Guillac qu'à la dite paroisse....

J'ai le souhait dans les mois qui viennent, mais il faut avoir le temps, d'effectuer la globabilité des registres d'Helléan, Quily et Montertelot pour parfaire les liens, les cousinages à travers les générations

Pour ceux bloquant sur Guillac, je peux vous aider avant toute mise en ligne qui ne se fera pas avant le mois de septembre, car les homonymes sont légions tant sur les BLANCHE, MAINGUY, GUEHO, JAGA, DEBLON.....

Alain


les Bagnards Bretons


La vie des forçats au bagne
Les forçats arrivèrent enchaîné par le cou, en groupes de 24, les cordons , sur des haquets.
Arrivé, ils étaient tondus, vêtus d'une casaque de laine rouge, un gilet de laine rouge, une chemise de toile blanche, un pantalon de toile de toile jaune et un paire de souliers ferrés sans bas. Il portèrent aussi un bonnet de laine, dont le couleur indiquait la durée de la condamnation : Le bonnet rouge pour les condamnés à temps et le bonnet vert pour les condamnés à perpétuité. Une plaquette de fer-blanc, porté sur la casaque, le gilet et le bonnet, portait le matricule du condamné. Ceux qui travaillaient dehors recevaient aussi une une vareuse de laine grise.
Image d'un forçat
Ensuite, on enchaîna, accoupla , les forçats deux à deux, toujours un ancien à un nouveau venu. Pour ça, on riva une manille autour de la jambe droite du forçat. À la manille, on riva une chaîne de neuf maillons d'environ 16 centimètres et lourde de sept à onze kilos, qu'on fixa à la ceinture du forçat. On réunit les deux chaînes par trois anneaux de fer, appelés organeaux . Deux forçats ainsi accouplés étaient appelés chevaliers de la guirlande . Un forçat, qui montra bonne conduite, pourra, après quatre ans, être mis à la chaîne brisée , aussi appelé la demie chaîne . On rompit les organeaux, le forçat ne gardait que la moitié de la chaîne, c'est-à-dire neuf maillots. Quand même, on l'enchaîna pendant la nuit. Chaque matin et chaque soir, les bagnards devaient tendre leur jambe au rondier, qui frappa les fers avec un marteau. Par le son qu'ils faisaient, il savait, si une lime avait mordu le fer.
Les forçats couchaient sur des grands bancs de bois, au bout desquels se trouvaient des anneaux de fer, où un les enchaîna pendant la nuit. On n'accorda des couvertures ou des matelas aux forçats de bonne conduite. Les salles n'étaient chauffés que pendant les plus froids mois de l'hiver.
La nourriture des forçats se composait de pain noir, de fèves, de légumes secs et, les jours des travaux, de viande et de vin. Il était permis aux forçats de s'acheter des rations supplémentaires.
Les forçats travaillaient à des taches différentes. Le travail était divisé entre Grande Fatigue et Petite Fatigue . La Grande Fatigue contenait le travail sur le port, dans l'arsenal, la corderie, aux fourgons, dans les ateliers de serrurerie ou les carrières. Une lettre sur la casaque indiquait le lieu de travail. Un forçat de bonne conduite, pouvait travailler à la Petite Fatigue : dans l'hôpital, dans la cuisine ou, s'il savait lire, dans quelque bureau du bagne.
Les forçats se levèrent l'hiver à six heures, l'été à cinq heurs, les travails commençaient une heure plus tard. Ils travaillèrent jusqu'à douze heures ; à douze heures, ils retournèrent dans leur salle pour y manger. Ils reprirent le travail à une heure. Ils travaillèrent l'hiver jusqu'à huit heures, l'été jusqu'à neuf heures. Après, ils mangèrent et se couchèrent.
Les lois du bagne étaient strictes. Victor Hugo les résume pendant sa deuxième visite au bagne de Toulon ainsi : Rébellion, meurtre sur un camarade ou tout autre, coups à un supérieur (depuis l'argousin jusqu'à l'amiral, depuis le mendiant jusqu'au pair de France) : la mort - Évasion ou la tentative, coups à un camarde, injures à un supérieur, vol au-dessus de cinq francs etc. : 3 ans de prolongation de peine ou trois ans de double chaîne - Jurer, chanter, refus d'obéir, refus de travail, ne pas se découvrir devant un supérieur (c'est-à-dire devant quiconque passe) etc. : Cachot ou la bastonnade. (Victor Hugo, Choses vues, Toulon, 1839) Mettre un forçat à la double chaîne, signifiait enchaîner le forçat dans une salle séparé, la salle de la double chaîne, au bout de sa banc avec une chaîne, qui pesa double de la chaîne normale. Le forçat ne sortait jamais, avant qu'il n'ait purgé sa punition. Le cachot était une cellule étroite, longue de deux mètres, contenant un banc de bois, un seau et une cruche, sans fenêtre, excepté un guichet dans la porte. La bastonnade était appliquée devant toute la chiourme. Le condamné était couché à plat ventre, torse nu, sur le coursier. Quatre forçats devaient le tenir par les bras et les jambes pour l'empêcher de se combattre. Un cinquième devait appliquer la bastonnade, quinze à soixante coups, avec une corde goudronnée. Après la bastonnade, le condamné passait de fois en fois quelque temps à l'hôpital, suite aux blessures. Une autre punition disciplinaire était le boulet au pied.
NOTA / extrait via-INTERNET
Pour la recherche ou la confirmation d'un ancêtre bagnard morbihannais, je vous donne une réponse.

les prisonniers de Guerre


Vous souhaitez la liste des prisonniers de Guerre ?

Eleveurs de chevaux (depuis si longtemps.....)

La Croix-Helléan/Helléan de Kerbeleuc au "Ped d'Haoo"... Ces familles ROUXEL/ROUSSEL éleveurs de chevaux aux familles nombreuses.

le programme du Millénaire de Josselin

Histoire et Patrimoine

Du Pays de Josselin

ORGANISE POUR LE MILLENAIRE DE JOSSELIN
Un cycle de quatre conférences


Samedi 19 avril 2008 – 16 H au Centre Culturel de Josselin.
« Olivier de Clisson, homme de son temps : mentalités et comportements au XIVème siècle. »
Yann DOUCET, professeur de lettres et d’histoire au lycée des Herbiers en Vendée.
Complément à l’exposition consacrée à Olivier de Clisson l’an dernier à Josselin, cette communication permettra de mieux comprendre cet homme de guerre doué pour les affaires, évoluant dans un monde de violence dans lequel la fidélité est d’abord personnelle et intéressée.
Olivier de Clisson est le reflet brillant de son époque. La démarche du conférencier est de faire connaître et comprendre celle-ci, afin que ce seigneur du XIVème siècle ne soit pas apprécié et jugé, selon les critères qui sont les nôtres au XXIème siècle.

Samedi 24 mai 2008 – 16 H au Château de Josselin.
« Les mottes féodales et l’implantation de Josselin, bourg castral ».
Patrick KERNEVEZ, professeur certifié d’histoire au pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias (UBO, Quimper), a inventorié les fortifications médiévales du Finistère, auxquelles il a consacré son DEA d’histoire à Brest en 1998.
Le premier château de Josselin, construit en 1008 d’après le cartulaire de Redon, était-il une motte ?
Les mottes féodales correspondaient à des châteaux et remplissaient trois fonctions : politique (car souvent centre de pouvoir), militaire et économique.
Mais l’histoire de la plupart des mottes reste à écrire.

Samedi 21 juin 2008 – au Cinéma le Beaumanoir, ou à la Salle St Michel de Josselin (lieu et horaire à préciser) Conférence avec diapositives suivie d’une visite de ville.
« L’architecture en pan-de-bois en Bretagne. L’exemple de Josselin »
Daniel LELOUP, architecte à Guingamp et docteur en histoire de l’art qu’il enseigne à l’université de Rennes 2.
L’importance de ce patrimoine, sa restauration, sa fragilité sera l’objet de la communication. Longtemps méprisé, il attendra la fin du XXème siècle pour être considéré comme un atout important dans le développement touristique de nombreuses villes.
Puis, au cours d’une promenade dans les rues du centre de Josselin, Daniel LELOUP analysera quelques façades et donnera les indispensables clés de lecture de ce type d’architecture.

Samedi 27 septembre 2008 – 16 H au Centre Culturel de Josselin.
« Un délicat problème urbain : l’hygiène de l’eau et de l’air dans les villes bretonnes au XVème siècle. »
Jean-Pierre LEGUAY, agrégé, docteur en histoire médiévale, professeur émérite de l’Université de Rouen, spécialiste des villes bretonnes au XV° siècle, auxquelles il a consacré de nombreux ouvrages.
Au Moyen-Age, la pollution ne dit pas encore son nom, mais elle existe bien dans les villes comme à la campagne. Nul endroit n’est privilégié.
Après avoir dénombré ces pollutions aux noms souvent évocateurs, comme les « merderons » pour les ruisseaux, ou encore les ruelles « à pipi », Jean-Pierre LEGUAY montrera les mesures préventives, coercitives et les solutions adoptées au Moyen-Age pour combattre le danger et améliorer la situation.

Entrée : 1 euro. Renseignements : Office de Tourisme du Pays de Josselin 02 97 22 36 43 ou HPPJ 02 97 55 09 46

les inconnus de Ploërmel

Qui sont-ils ?


en 1928 : Croissy-sur-Seine


En passant par La Croix-Helléan, le frère de mon grand-père épouse en région parisienne une costarmoricaine de Canihuel (village magnifique au confins de la Bretagne)

place de la mairie de Ploërmel







le dernier poilu de la Grande Guerre

Hommage à tous ceux morts à la Guerre 1914-1918, il n'en reste plus qu'un, le franco-italien Lazare Ponticelli ; et vous voyez par mon article, aussi, nous trouvons des JAHIER au Piémont, quelques-uns sont morts et d'autres poursuivre leurs souvenirs !

Souhaitant, qu'on dresse à la mémoire de ces valeureux soldats, des funérailles nationales...et que dire des millions de soldats n'ayant pas eu la légion d'honneur, à certains-et beaucoup, aujourd'hui, on la donne pour des misères de sueur ! le ridicule à toute époque, aujourd'hui encore !

en 1631 : s'agit-il d'un meurtre ?

Donc, Ollivier Loysel fiancé à Jacquette Sanson est-il mort d'empoisonnement ; après avoir ouvert le corps par le barbier et l'apothicaire....Trouvera-t-on une réponse ?

Pierre ÉLIE

Pierre Michel Margueritte ÉLIE né le 21/2/1763 en la paroisse Saint Martin de Josselin
Ses parents ont dû se marier sur la paroisse Saint Germain de Rennes ?








Pierre ELIE a servi dans le régiment Bourbon dragons depuis le 1/2/1782 jusqu’au 1/3/1787, a été fait sous-lieutenant dans le 60ème RI Royal de Marine le 15/9/1791, lieutenant le 9/7/1792, capitaine le 10/11/1792, remplacé le 23/12/1792 emploi trouvé vacant par sa mort fait à Paris le 4 ventose an V

INCROYABLE ! un curé - un enfant

Heleine file de Julienne fille de Julienne Tily fut baptisée en l'église de Glac par missire Jan Tastart sieur recteur dudit Glac fut parain Alain Burban et marainne Julienne Tili le vingt deuxieme jour de decembre mil six cent quatre vingt traize ainsi signé

la fille avoué à missire Joseph Morice prêtre de Glac

Une réunion généalogique !


une Outarde ?


François JAHIER au Maroc

merci Sophie et Franck

Cette magnifique photo prise à Rabat en 1915, montre François Yves JAHIER tenant une outarde à la main, Moktar tenant Georges Jahier (fils) dans ses bras !

Suivre cette famille JAHIER, serait faire (presque) une généalogie à se tenir la tête entre les mains, tellement, elle vous amène du Morbihan, Maroc, La Réunion, Centre-Sud de la France....

Bon amusement Sophie, au moins j'ai le plaisir de t'aider sur le Morbihan !

Alain

un chaînon manquant !

On pourrait commencer par une histoire qui n'en ai pas une à la base ; on se bloque sur cette famille, on s'y colle et on veut réussir à retrouver, à parcourir le chemin qu'ils ont fait autrefois. Ils étaient nombreux, vivaient en famille et se mariaient entre eux !






Ce sont les sabotiers !


Ils habitaient à l'intérieur de la forêt, au-delà des sédentaires... fabriquaient de ces sabots (ci-dessus une paire de mes générations passées) qu'on regrette de ne pouvoir acquérir à la façon artisanale. Ai-je remarqué, pourquoi les voient-on autant déambulé sur Molac et Lanouée dans les années 1715 à 1750 environ, avant on ne les croisait nullement sur ces contrées.... Peux-t-on penser à une sédentarisation des sabotiers avant 1710 ?




Le Chaînon Manquant : une forêt, une paroisse... on retrouve les mêmes sabotiers (quelques exceptions) sur la forêt de Molac et ensuite sur celle de Lanouée ; Lanouée étant apparu après Molac (fortement dans les années (1735-1750) et Molac (entre les années (1715 et 1730) ; donc, le chaînon manquant (1730-1735)



message de bienvenu

je suis heureux de partager avec vous, chercheurs d'ancêtres, quelques instants de ma vie et celle de mes aïeux ma famille, mes ancêtres, la Bretagne !

je vous souhaite un agréable moment sur mon Blog