Article "Premières Images d'une Bretagne en couleurs" de Marc ESCUDIÉ (Ouest-France 2-12-2008)
-------Voyages en couleurs (1907-1929), 144 pages, 120 illustrations, éditions "Apogée" 29 EurosVotre regard parcourt la vie de nos aïeux ! Votre sourire épanouït l'instant !
Nos vies antérieures
L'autochrome lumière : 6 avril 1920
A tous les Autres et à toi Pierre JAHIER
Qui es-tu jeune fille de AUGAN (10-11 ans)
Vos réponses généalogiques pour Noël
HISTOIRE et GÉNÉALOGIE
à ceux recherchant leurs âmes de meuniers
http://fr.groups.yahoo.com/group/KENDIRVIgenea225635/?yguid=269358176
ou
alaingenealogie@neuf.fr
les belles images ont leur place
en 1852 : place des Lices à Rennes
fluctuation de la population (méthode MOHEAU)
- Lanouée et sa trève : 3 883 habitants en moyenne (bien que certains baptêmes sont sur Josselin), donc on peut admettre une moyenne de 4 000 habitants environ
- La Croix-Helléan : 1 393 habitants en moyenne
- Guillac : 1398 habitants en moyenne
- Sérent : 2564 habitants en moyenne
- Lantillac : 397 habitants en moyenne
GUILLAC
Ces relevés se poursuivent, lentement, durement mais sûrement......
Il faut être patient pour avoir des données complètes sur GENEANET....
Pour Guillac, les baptêmes commencent en mars 1591, sur les différentes années dépouillées, on croise différentes écritures, le vieux français, le latin durant 30 années et la lisibilité des actes est relativement corrects bien qu'il faut avoir l'habitude des actes des registres paroissiaux ; l'année 1725 est en lacune définitive ainsi qu'à la mairie, les registres de la mairie complètent sur quelques pages les registres en ligne "racines de l'avenir" incomplets ; certaines années 1671 à 1675, il faut aimer parcourir un registre émietter par l'usure du temps, mais le comble revient à l'année 1695, page déchirée, abîmée...
Le premier village nommé à un baptême est le Boux le 8 août 1606 ; Brangoyan, à mes yeux est le village le plus important en terme démographique bien que je n'ai pas encore effectué d'étude dans ce sens ; les mariages ont lieu principalement en janvier et février, on trouve beaucoup de lien avec les paroisses de Helléan, La Croix-Helléan, Saint Servant, Ploërmel et Guégon.... On parle également de Montertelot trève de Guillac, de Quily où le prêtre exerçait tant à Guillac qu'à la dite paroisse....
J'ai le souhait dans les mois qui viennent, mais il faut avoir le temps, d'effectuer la globabilité des registres d'Helléan, Quily et Montertelot pour parfaire les liens, les cousinages à travers les générations
Pour ceux bloquant sur Guillac, je peux vous aider avant toute mise en ligne qui ne se fera pas avant le mois de septembre, car les homonymes sont légions tant sur les BLANCHE, MAINGUY, GUEHO, JAGA, DEBLON.....
Alain
les Bagnards Bretons
Les forçats arrivèrent enchaîné par le cou, en groupes de 24, les cordons , sur des haquets.
Arrivé, ils étaient tondus, vêtus d'une casaque de laine rouge, un gilet de laine rouge, une chemise de toile blanche, un pantalon de toile de toile jaune et un paire de souliers ferrés sans bas. Il portèrent aussi un bonnet de laine, dont le couleur indiquait la durée de la condamnation : Le bonnet rouge pour les condamnés à temps et le bonnet vert pour les condamnés à perpétuité. Une plaquette de fer-blanc, porté sur la casaque, le gilet et le bonnet, portait le matricule du condamné. Ceux qui travaillaient dehors recevaient aussi une une vareuse de laine grise.
Image d'un forçat
Ensuite, on enchaîna, accoupla , les forçats deux à deux, toujours un ancien à un nouveau venu. Pour ça, on riva une manille autour de la jambe droite du forçat. À la manille, on riva une chaîne de neuf maillons d'environ 16 centimètres et lourde de sept à onze kilos, qu'on fixa à la ceinture du forçat. On réunit les deux chaînes par trois anneaux de fer, appelés organeaux . Deux forçats ainsi accouplés étaient appelés chevaliers de la guirlande . Un forçat, qui montra bonne conduite, pourra, après quatre ans, être mis à la chaîne brisée , aussi appelé la demie chaîne . On rompit les organeaux, le forçat ne gardait que la moitié de la chaîne, c'est-à-dire neuf maillots. Quand même, on l'enchaîna pendant la nuit. Chaque matin et chaque soir, les bagnards devaient tendre leur jambe au rondier, qui frappa les fers avec un marteau. Par le son qu'ils faisaient, il savait, si une lime avait mordu le fer.
Les forçats couchaient sur des grands bancs de bois, au bout desquels se trouvaient des anneaux de fer, où un les enchaîna pendant la nuit. On n'accorda des couvertures ou des matelas aux forçats de bonne conduite. Les salles n'étaient chauffés que pendant les plus froids mois de l'hiver.
La nourriture des forçats se composait de pain noir, de fèves, de légumes secs et, les jours des travaux, de viande et de vin. Il était permis aux forçats de s'acheter des rations supplémentaires.
Les forçats travaillaient à des taches différentes. Le travail était divisé entre Grande Fatigue et Petite Fatigue . La Grande Fatigue contenait le travail sur le port, dans l'arsenal, la corderie, aux fourgons, dans les ateliers de serrurerie ou les carrières. Une lettre sur la casaque indiquait le lieu de travail. Un forçat de bonne conduite, pouvait travailler à la Petite Fatigue : dans l'hôpital, dans la cuisine ou, s'il savait lire, dans quelque bureau du bagne.
Les forçats se levèrent l'hiver à six heures, l'été à cinq heurs, les travails commençaient une heure plus tard. Ils travaillèrent jusqu'à douze heures ; à douze heures, ils retournèrent dans leur salle pour y manger. Ils reprirent le travail à une heure. Ils travaillèrent l'hiver jusqu'à huit heures, l'été jusqu'à neuf heures. Après, ils mangèrent et se couchèrent.
Les lois du bagne étaient strictes. Victor Hugo les résume pendant sa deuxième visite au bagne de Toulon ainsi : Rébellion, meurtre sur un camarade ou tout autre, coups à un supérieur (depuis l'argousin jusqu'à l'amiral, depuis le mendiant jusqu'au pair de France) : la mort - Évasion ou la tentative, coups à un camarde, injures à un supérieur, vol au-dessus de cinq francs etc. : 3 ans de prolongation de peine ou trois ans de double chaîne - Jurer, chanter, refus d'obéir, refus de travail, ne pas se découvrir devant un supérieur (c'est-à-dire devant quiconque passe) etc. : Cachot ou la bastonnade. (Victor Hugo, Choses vues, Toulon, 1839) Mettre un forçat à la double chaîne, signifiait enchaîner le forçat dans une salle séparé, la salle de la double chaîne, au bout de sa banc avec une chaîne, qui pesa double de la chaîne normale. Le forçat ne sortait jamais, avant qu'il n'ait purgé sa punition. Le cachot était une cellule étroite, longue de deux mètres, contenant un banc de bois, un seau et une cruche, sans fenêtre, excepté un guichet dans la porte. La bastonnade était appliquée devant toute la chiourme. Le condamné était couché à plat ventre, torse nu, sur le coursier. Quatre forçats devaient le tenir par les bras et les jambes pour l'empêcher de se combattre. Un cinquième devait appliquer la bastonnade, quinze à soixante coups, avec une corde goudronnée. Après la bastonnade, le condamné passait de fois en fois quelque temps à l'hôpital, suite aux blessures. Une autre punition disciplinaire était le boulet au pied.
Eleveurs de chevaux (depuis si longtemps.....)
le programme du Millénaire de Josselin
Du Pays de Josselin
ORGANISE POUR LE MILLENAIRE DE JOSSELIN
Un cycle de quatre conférences
Samedi 19 avril 2008 – 16 H au Centre Culturel de Josselin.
« Olivier de Clisson, homme de son temps : mentalités et comportements au XIVème siècle. »
Yann DOUCET, professeur de lettres et d’histoire au lycée des Herbiers en Vendée.
Complément à l’exposition consacrée à Olivier de Clisson l’an dernier à Josselin, cette communication permettra de mieux comprendre cet homme de guerre doué pour les affaires, évoluant dans un monde de violence dans lequel la fidélité est d’abord personnelle et intéressée.
Olivier de Clisson est le reflet brillant de son époque. La démarche du conférencier est de faire connaître et comprendre celle-ci, afin que ce seigneur du XIVème siècle ne soit pas apprécié et jugé, selon les critères qui sont les nôtres au XXIème siècle.
Samedi 24 mai 2008 – 16 H au Château de Josselin.
« Les mottes féodales et l’implantation de Josselin, bourg castral ».
Patrick KERNEVEZ, professeur certifié d’histoire au pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias (UBO, Quimper), a inventorié les fortifications médiévales du Finistère, auxquelles il a consacré son DEA d’histoire à Brest en 1998.
Le premier château de Josselin, construit en 1008 d’après le cartulaire de Redon, était-il une motte ?
Les mottes féodales correspondaient à des châteaux et remplissaient trois fonctions : politique (car souvent centre de pouvoir), militaire et économique.
Mais l’histoire de la plupart des mottes reste à écrire.
Samedi 21 juin 2008 – au Cinéma le Beaumanoir, ou à la Salle St Michel de Josselin (lieu et horaire à préciser) Conférence avec diapositives suivie d’une visite de ville.
« L’architecture en pan-de-bois en Bretagne. L’exemple de Josselin »
Daniel LELOUP, architecte à Guingamp et docteur en histoire de l’art qu’il enseigne à l’université de Rennes 2.
L’importance de ce patrimoine, sa restauration, sa fragilité sera l’objet de la communication. Longtemps méprisé, il attendra la fin du XXème siècle pour être considéré comme un atout important dans le développement touristique de nombreuses villes.
Puis, au cours d’une promenade dans les rues du centre de Josselin, Daniel LELOUP analysera quelques façades et donnera les indispensables clés de lecture de ce type d’architecture.
Samedi 27 septembre 2008 – 16 H au Centre Culturel de Josselin.
« Un délicat problème urbain : l’hygiène de l’eau et de l’air dans les villes bretonnes au XVème siècle. »
Jean-Pierre LEGUAY, agrégé, docteur en histoire médiévale, professeur émérite de l’Université de Rouen, spécialiste des villes bretonnes au XV° siècle, auxquelles il a consacré de nombreux ouvrages.
Au Moyen-Age, la pollution ne dit pas encore son nom, mais elle existe bien dans les villes comme à la campagne. Nul endroit n’est privilégié.
Après avoir dénombré ces pollutions aux noms souvent évocateurs, comme les « merderons » pour les ruisseaux, ou encore les ruelles « à pipi », Jean-Pierre LEGUAY montrera les mesures préventives, coercitives et les solutions adoptées au Moyen-Age pour combattre le danger et améliorer la situation.
Entrée : 1 euro. Renseignements : Office de Tourisme du Pays de Josselin 02 97 22 36 43 ou HPPJ 02 97 55 09 46
en 1928 : Croissy-sur-Seine
le dernier poilu de la Grande Guerre
Souhaitant, qu'on dresse à la mémoire de ces valeureux soldats, des funérailles nationales...et que dire des millions de soldats n'ayant pas eu la légion d'honneur, à certains-et beaucoup, aujourd'hui, on la donne pour des misères de sueur ! le ridicule à toute époque, aujourd'hui encore !
en 1631 : s'agit-il d'un meurtre ?
Pierre ÉLIE
Ses parents ont dû se marier sur la paroisse Saint Germain de Rennes ?
INCROYABLE ! un curé - un enfant
la fille avoué à missire Joseph Morice prêtre de Glac
François JAHIER au Maroc
Cette magnifique photo prise à Rabat en 1915, montre François Yves JAHIER tenant une outarde à la main, Moktar tenant Georges Jahier (fils) dans ses bras !
Suivre cette famille JAHIER, serait faire (presque) une généalogie à se tenir la tête entre les mains, tellement, elle vous amène du Morbihan, Maroc, La Réunion, Centre-Sud de la France....
Bon amusement Sophie, au moins j'ai le plaisir de t'aider sur le Morbihan !
un chaînon manquant !
Ce sont les sabotiers !
Le Chaînon Manquant : une forêt, une paroisse... on retrouve les mêmes sabotiers (quelques exceptions) sur la forêt de Molac et ensuite sur celle de Lanouée ; Lanouée étant apparu après Molac (fortement dans les années (1735-1750) et Molac (entre les années (1715 et 1730) ; donc, le chaînon manquant (1730-1735)
message de bienvenu
je vous souhaite un agréable moment sur mon Blog