Nos vies antérieures

Nos vies antérieures

vos recherches sur JOSSELIN

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4 PAROISSES

Saint Nicolas : vous avez des souches sur Guillac, La Croix-Helléan
Saint Martin : vous avez des souches sur Lanouée, La Croix-Helléan
Sainte Croix : vous avez des souches sur Guillac, Guégon, Lantillac
Notre Dame du Roncier : le centre de Josselin, bourgeois, gentilhommes, nobles......

seigneurs des TIMBRIEUX : mes ancêtres

la famille DU BOT : en Bretagne, ancienne Noblesse qui remonte au XIIIème siècle et dont le nom se retrouve souvent dans l'Ordre de l'ancienne Chevalerie. Sa filiation est authentiquement prouvée depuis 400 ans. acte de naissance de Louis Marie DU BOT (sur la paroisse de Notre Dame du Roncier de Josselin en 1702)


(la chapelle du château des Timbrieux)





château de Josselin et sa magnifique façade (famille de Rohan) dont je suis issu par la famille du Gué de l'Isle.
le château des Timbrieux (Cruguel)


Louis Marie du BOT, seigneur des Timbrieux et de la Tertrée, gouverneur du château de Josselin, épousa en 1727 paroisse Saint Patern de Vannes Cécile du Bot du Grégo (alliée à la maison le Sénéchal de Kercado)
mes ascendants directs côté maternel









acte de décès du père de Louis (1740 Josselin) et acte de mariage (3ème épouse) de Louis fils DU BOT sur Guéhenno en 1748.

Pour leur mémoire : Mort pour la France



(photo prise à Brest juste avant son départ pour les Balkans et envoyée à sa grand-mère)

La Campagne en Macédoine,
le 11 octobre 1915, la Bulgarie avait déclaré la guerre aux Alliés et envahissait la Serbie. Pour soulager la retraite de l'armée serbe qui s'effectuait à travers l'Albanie.... les Alliés (britanniques, russes, iltaliens, grecs, français, coloniaux....) se replièrent vers Salonique, sur le front de Monastir, le rôle n'était que défensif durant l'année 1917 !

le village de Negocani, petit village, population non grecque, ceinturé par la montagne, sa situation géographique me reste assez inconnu, je dirais toutefois que ce village doit se situer proche de la frontière bulgare, turque et grec, au coeur des Dardanelles ; en novembre 1917, nous pouvons imaginer, pluie et neige, routes boueuses, canonnade et fusillade violente, blessés et morts, la vie proche de la mort !

Alain



Joseph Marie Guillemin né le 17.5.1894 à Augan fils de Clément et Jeanne Marie Brard nés tous deux à Augan.
tué à l'ennemi (mort pour la France) le 16.11.1916 à Négocani en Grèce ; il était de la classe 1914 et affecté au 44ème Régiment d'Infanterie Coloniale de Brest.
Parti de Brest fin février 1915 pour les Balkans.

D'après la famille, il aurait été blessé durant la campagne des Dardanelles et aurait été évacué sur Négocani où il est décédé.

supplément : Eugène Guillemin oncle paternel de Joseph (ci-dessus) né à Augan le 20.3.1887 d'Auguste (natif de Caro) et de Jeanne Marie Guerrier, tué à l'ennemi (mort pour la France) le 5.10.1915 à Perthes dans la Marne

malheureusement, pour l'oncle, nous n'avons pas de photographies à proposer

lien de parenté Joseph Guillemin : oncle maternel par alliance
Arlette Prioux

Saint Jacques de Compostelle : à travers les registres







Année : 1669
Acte de décès : Olivier Deslandes
Paroisse : trève de Pomeleuc

Paroisse : Lantillac
l'an de grace mil sept cens quatorze le 4 jour du mois d'octobre Guillaume Loste sabotier et pelerin revenu de Saint Jacques de la paroisse de Bernê est décédé au bois de Talhouet dans la loge de Guillaume Le Male aussi sabotier en cette paroisse après avoir été confessé par moi Olivier Haudes recteur les jours précédents et reçu les sacrements de l'extrême onction le dit jour par missire Olivier Haudes

LES FORGES : forêt et chasse (hier-aujourd'hui)











les Aboyeuses de Josselin


D'après une légende populaire, des lavandières à l'ouvrage un jour de fête de la Vierge se moquèrent d'une mendiante qui s'avançait vers elles. Battoirs et Langues menaient grand bruit ; le chien des lavandières s'en prend à la mendiante, se précipitant sur cette dernière tout en aboyant de colère.
Mais l'inconnue s'est arrêtée, ses loques tombent, elle resplendit maintenant comme un soleil, et avec un regard sévère et une voix qui cingle : "femmes, dit-elle, vous serez punies et vous aboierez à l'avenir vous et vos filles comme votre chien t'a l'heure aboyant après moi". A ces mots la mendiante disparut et les laveuses trop tard reconnurent en elle la Vierge Marie.....

AUGAN : la chapelle Saint Nicolas au Binio







vers 850, XIIIè-XVè siècle, schiste, ardoises
Binio, dit anciennement Ran-Winio, appartient initialement aux Rohan puis à leurs alliés les Montauban, en 1510 aux Volvire, puis en 1682 à la famille de Lopriac. La première chapelle est construite à l'emplacement d'un temple païen. Guillaume de Montauban la fait reconstruire vers 1400 et y est inhumé en 1486. L'édifice quadrangulaire, long, étroit et bas, se distingue par une toiture près de terre.

AUGAN : les relevés des registres paroissiaux et d'état civil

Voulant accroître les vieilles photographies d'Augan (soldats ayant participé à la guerre 1914-1918, cérémonies religieuses...) et de Cartes Postales..., je vous propose en échange les relevés de la paroisse de AUGAN des années 1669 à 1860.

vous pouvez me contacter sur ma messagerie pour de plus amples renseignements
Alain

SABOTIERS/GENS DE LA FORÊT


vous avez sûrement remarqué bon nombre de sabotiers sur mon arbre en ligne GENEANET,

le but étant d'insérer toutes les familles ayant vécu sur la paroisse de Lanouée et notamment dans la forêt, certains ayant vécu que quelques mois, d'autres sur plusieurs générations.....
je précise que mon arbre ne cherche en rien à faire du recopiage sur ce type de personnages, car il existe quelques sites vraiment fabuleux sur les sabotiers ! je me suis permis, par contre, de rentrer différentes données dont certaines personnes (que je remercie) m'ont fourni au gré de nos échanges : parmi les familles LE FAUCHEUX, LE MASLE, KEROUAS, GORIN, HERPE, NAGAT..... et j'en oublie !

famille JAHIER : scieur de long

en la forêt de Lanouée !


N'étaient pas scieur de long qui voulait. Il fallait de la robustesse et ne pas craindre de mouiller sa chemise par tous les temps.

C'était en effet un métier particulièrement pénible.Les scieurs allaient toujours par équipes de deux ; ils habitaient sous une hutte de branchages comme tous les forestiers.

Arrivés à pied d'oeuvre, leur premier ouvrage consistait à construire un chevalet de sciage, le "baudet" ; puis ils procédaient à l'équarrissage -à la hache- des troncs à débiter et commençaient leur ouvrage spectaculaire.

L'un, le chevrier, grimpait sur le tronc enchaîné au chevalet, debout et le plus souvent pieds nus, tandis que l'autre, le renardier, se plaçait en dessous, les jambes fermement écartées. Ils tiraient la scie vers eux à tour de rôle.

Ils débitaient de la sorte des poutres pour les charpentiers, des planchers pour les menuisiers, des traverses et des fonds de waggons pour les chemins de fers, des étais de mine et des limonières pour les charrons.







souche Marin Jahier et Julienne Mahieux
- son fils Pierre époux de Perinne Tanguy
- son petit-fils Julien époux de Jacquette Bihouée
souche Marin Jahier (idem ci-dessus) et Jeanne Garaud
- son fils Olivier époux de Julienne Voisin
- son petit-fils Mathurin époux de Jeanne Hervo
dans la famille JAHIER, le scieur de long se transmettait de père en fils, de même, ainsi les cousins étaient-ils eux charpentiers et scieurs de long



Réminiac : des relevés disponibles !

la Croix de cimetière (XVIIème siècle) schiste
l'église Saint Rémi
la rue Bertaud et ses maisons
les sculptures en bois de Melen Gibout (village de Perdrillan)

quelques caractéristiques de Réminiac, petit village entre Malestroit et Guer ; environ 370 habitants ! J'ai effectué pour la mairie de Réminiac, les relevés d'état civil de 1804-1806 à 1902, ces relevés sont disponibles en mairie, quelques associations généalogiques bretonnes, et des dizaines de particuliers......
j'échange volontiers ces tables contre de vieilles photographies de vos parents-grands-parents natifs de Réminiac, Tréal, Monteneuf ou des communes avoisinantes contre ces relevés !

LANOUÉE : la contrée de mes ancêtres


Un petit coin perdu dans l'immense forêt, qui occupait le centre de la péninsule armoricaine, éclairé par de vertes clairières, baigné par les rivières tranquilles et sinueuses du Lié et du Lanuon (Dom Maurice : Droit d'usage dans la forêt de Lannoys page 960), appelé plus tard le Ninian, puis par l'Oust plus majestueux, tel était le territoire qui prendra le nom de Lanouée, quand les habitants viendront y disputer la place aux animaux sauvages.


D'un point de vue généalogique, vous pouvez me demander ce que vous souhaitez sur cette paroisse ainsi que sur la trêve de Pomeleuc : plus de 50 000 actes BMS en ma possession, et ce n'est toujours pas fini !


La Croix-Helléan


La Chapelle de Saint Maudé (début XVème siècle)
la chapelle est placée sous le vocable de Saint Maudé, abbé d'origine irlandaise né au VIè siècle et dont une relique est à l'origine de la création de la commune de Saint Mandé (Val de Marne).
Cette chapelle est édifié par Alain IX de Rohan à partir de 1431 avec l'aide du duc Jean V et les dons de la famille du Broutay-Quélen.
Certains morts du Combat des Trente (1 siècle auparavant) sont enterrés à cet emplacement !
réponse généalogique : la totalité de la paroisse 1608 à 1793, ont été relevés par mes soins, ce fut mes premiers relevés ; le cercle généalogique Sud Bretagne possède un exemplaire à partir de 1722, je l'ai étoffé et corrigé depuis par la présence de tous les témoins aux différents actes BMS...
Il est nécessaire pour éviter toute erreur en recherchant son ancêtre sur cette partie de territoire, d'avoir également les relevés de Helléan et Guillac : car l'ensemble de cette commune actuelle ne faisait qu'un auparavant "le Haut Glac et le Bas Glac".

LE FEBVRIER François Anne Joseph




Homme de loi, administrateur du département, député aux Cinq Cents et au corps législatif, a appartenu au club de Vannes en 1792.

Né le 4 juin 1767 à Josselin, de Mathurin Le Febvrier, notaire et procureur (1731-1771) et de Julienne Gauthier (cf photo : habitation dudit couple), il est en 1789 commandant de la Garde Nationale et procureur de la commune de Josselin. Homme de loi, il est élu au district de Josselin le 14 juin 1790 et devient administrateur du département jusqu'en octobre 1793 où, comme ses collègues, il est destitué et incarcéré jusqu'en novembre 1794.

Selon son certificat de résidence, il s'est installé à Vannes le 13 octobre 1792.

A sa libération, il reprend place au département et est nommé substitut du procureur général syndic en novembre 1795. En juillet de cette année, il dénonce trois suspects au Comité de surveillance de vannes parmi lesquels du Bot, de Pleucadeuc ; le 18 frimaire an IV, il est désigné pour se rendre près du général Hoche à Nantes pour demander des troupes pour défendre le Mobihan et il peut annoncer le 22 frimaire qu'il a obtenu 30 000 hommes du général Chapot.
Administrateur départemental en vue, il réalise à l'âge de 30 ans, un beau mariage lorsque, le 5 fructidor an V, il épouse Marie Anne Mahé de Villeneuve, 18 ans, fille de François Augustin Mahé de Villeneuve "président du corps municipal de Vannes" et de Marie Josèphe Cunat des Férages. Ses témoins et signataires de l'acte appartiennent à l'élite républicaine de Vannes : Faverot, Le Goäsbe, Péniguel, Le Bouhellec, Lucas-Bourgerel...


Quelques mois plus tard, le 25 germinal an VI, il est élu au Conseil des Cinq Cents et gagne Paris où il représente le Morbihan plusieurs années de suite puisqu'après avoir approuvé le 18 brumaire, il est nommé au corps législatif (4 nivôse an VIII) où il siège jusqu'à l'an XI. Revenu à Vannes, il est nommé conseiller de préfecture le 3 frimaire an XI (26.11.1803) et le demeure jusqu'en 1815.

L'un des fondateurs de la Loge de Vannes (Souverain Prince Rose-Croix en 1802), il appartient à la Maçonnerie au moins jusqu'en 1823.

Pendant l'Empire, il est procureur au tribunal de première instance et "est connu pour l'envoi de nombreuses lettres et rapports dénonciateurs à Fouché".

Selon le même auteur, il appartient aux collèges électoraux et aux listes de notabilité ; dix-huitième des cent plus imposées vannetais en 1803, il déclare 2 400 francs de revenus en 1812 mais aurait acquis pour plus de 200 000 francs de biens fonciers en compagnie de sa femme et de sa mère dans sept communes autour de Josselin. Il est vrai qu'il laisse quelques dizaines de milliers de francs dans la faillite de son beau père Mahé de Villeneuve en 1806-1808, son hypothèque de 32 000 francs et ses créances chirographaires n'ayant pu être honorées.

Sous la Restauration, on ne trouve plus trace de lui bien que Luco note qu'il fut avocat et procureur du Roi à Vannes, allant jusqu'à signer la protestation contre le régicide en 1816.

il décède à Vannes le 25 août 1828, ne laissant semble-t-il que trois des fils des neuf enfants qu'il eût de 1799 à 1816 et une fille.

-Julien Le Febvrier, né en 1799, juge au tribunal de Vannes, marié en 1830 à Anne Magdeleine, d'où Lucien
-Joseph Le Febvrier (1800-1829), médecin, sans postérité
-Marianne Le Febvrier (1804-), épouse en 1836 le lieutenant Cassin Emery
-Hyppolithe Le Febvrier (1807-), avoué à Vannes

lien de parenté : ascendance directe

la soeur de F.A.J. Le Febvrier : Marie Augustine Le Febvier (1768-1844) épousa le notaire de Josselin Joseph François Trévelo (1757-1826), d'où postérité.

NOTA /
Notre républicain est à ne pas confondre avec Jacques Joseph Febvrier, conseiller au Présidial en 1789, et qui avait épousé en mai 1781, à Saint Pierre, Françoise Philippe de Lourme qui meurt et est inhumée le 16 juillet 1792...

message de bienvenu

je suis heureux de partager avec vous, chercheurs d'ancêtres, quelques instants de ma vie et celle de mes aïeux ma famille, mes ancêtres, la Bretagne !

je vous souhaite un agréable moment sur mon Blog